La majorité des professionnels – publics et privés – susceptibles d’apparaître en ligne préfère encore opter pour un nom de domaine générique comme le .com ou le .org que pour un nom de domaine national ou géographique : un .pays.

Les entreprises, les particuliers, les universités, le monde associatif et les pouvoirs publics ont des réticences à utiliser la désinence pays, pour plusieurs raisons, dont notamment :

• La fiabilité et la confiance
• La méconnaissance
• La visibilité internationale
• Etc

Depuis que le groupe I2N a vu le jour en 2012, sous l’égide du collège international de l’Afnic, il a organisé dans plusieurs pays d’Afrique francophone des séminaires, ateliers ou réunion de travail.

Lors de ces différents ateliers I2N, les participants élaborent la stratégie de communication à mettre en place pour valoriser l’importance d’une identité numérique nationale.

Cette stratégie s’appuie, entre autres, sur le choix des cibles (envers qui communiquer) et des vecteurs (identification et priorisation) sans oublier les indispensables éléments de langage à choisir ensemble pour éviter le jargon technique peu compréhensible pour l’extérieur.

A l’issue de chacun de ces séminaires, les participants, des techniciens pour la plupart, sont capables d’organiser un plan de promotion de leurs « .pays » respectifs en adoptant un discours moins codé, moins technique et beaucoup plus adapté, plus accessible au grand public.

L’initiative I2N est composée d’une dizaine de personnes, issues de plusieurs pays d’Afrique, aux compétences diverses dans le numérique. Les membres du groupe I2N sont tous issus des cinq éditions du séminaire « Vers une Identité Numérique Nationale (I2N) » organisés dans cinq pays africains.

• Odile Ambry
• Rokhaya Diatta
• Armel Keupondjo
• Jean Claude Gatete
• Raft Razafindrakoto
• Wilfried Quenum
• Jean-Philémon Kissangou

I2N, le projet « Identité numérique nationale » (I2N) est piloté par le « .mg »,

Sources